Dans mon lycée technique les profs fabriquaient beaucoup de cartes avec des lignes a retard plutôt.
Avec le recul j'aurai préféré des cartouches Thomson.
Originaux : Le choix des supports sur Thomson
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- Leraptor06
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Re: Originaux : Le choix des supports sur Thomson
Mais les protection Infogrames quand vous en parlez ici, c'était bien pour les K7 non ?
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Re: Originaux : Le choix des supports sur Thomson
Ce n’étaient pas des protections contre la copie physique, mais le desassemblage et le bidouillage sous debugger et autre analyses post-mortem/post-reset. Bref, les pirates soft, pas hard.
Samuel.
A500 Vampire V2+ ^8^, A1200 (030@50mhz/fpu/64mb/cf 8go),
A500 GVP530(MMU/FPU) h.s., R-Pi, TO9, TO8D, TO8.Démos
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Re: Originaux : Le choix des supports sur Thomson
Je ne connais pas bien l'écosystème Thomson, mais si je fais un parallèle avec celui de l'Amstrad CPC 464 où la copie de K7 était aussi une discipline olympique il fut une époque, il y a deux niveaux de protections par rapport aux K7 (je laisse de côté les autres systèmes de protection avec des codes dans les notices noir sur fond rouge pour empêcher les photocopies, les devices optiques à appliquer sur l'écran, etc) :
- des façons d'enregistrer les programmes non-standards avec des loaders sur mesure pour empêcher la duplication logicielle, c'est-à-dire les programmes qui lisaient les blocs de données sur la K7 originale, les stockaient en mémoire, puis réécrivaient les blocs de données sur la K7 cible,
- des modifications physiques du support K7, j'ai lu deux choses à ce sujet, des K7 dont le tampon en cuivre était remplacé par un tampon en mousse (je ne sais pas en quoi cela peut gêner la duplication sur un lecteur de K7 standard...) et l'enregistrement de bruits de fond entre les blocs de données (ça oui je pense que ce pouvait être plus ou moins source d'erreur en dupliquant la K7).
Mais déjà comme l'a dit Daniel la première limite de la recopie de K7 à K7 sur des chaines hifi était la dégradation à chaque recopie. Replaçons-nous à une époque où les téléphones mobiles, internet, les réseaux sociaux n'existaient pas et les ordinateurs pas démocratisés du tout. Il fallait déjà trouver des personnes avec des jeux à recopier. Donc la "propagation" n'était pas si simple et le fait de devoir repartir d'un support original car au bout de N copies ce n'était plus recopiable était encore plus limitant.
- des façons d'enregistrer les programmes non-standards avec des loaders sur mesure pour empêcher la duplication logicielle, c'est-à-dire les programmes qui lisaient les blocs de données sur la K7 originale, les stockaient en mémoire, puis réécrivaient les blocs de données sur la K7 cible,
- des modifications physiques du support K7, j'ai lu deux choses à ce sujet, des K7 dont le tampon en cuivre était remplacé par un tampon en mousse (je ne sais pas en quoi cela peut gêner la duplication sur un lecteur de K7 standard...) et l'enregistrement de bruits de fond entre les blocs de données (ça oui je pense que ce pouvait être plus ou moins source d'erreur en dupliquant la K7).
Mais déjà comme l'a dit Daniel la première limite de la recopie de K7 à K7 sur des chaines hifi était la dégradation à chaque recopie. Replaçons-nous à une époque où les téléphones mobiles, internet, les réseaux sociaux n'existaient pas et les ordinateurs pas démocratisés du tout. Il fallait déjà trouver des personnes avec des jeux à recopier. Donc la "propagation" n'était pas si simple et le fait de devoir repartir d'un support original car au bout de N copies ce n'était plus recopiable était encore plus limitant.