[MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Modérateurs : Papy.G, fneck, Carl
[MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Ce fil va nous permettre d'échanger librement nos idées, ajouts ou corrections relatifs au fil des tutos de prise en main du MPF-I.
Ici ce sera feu à volonté.
Ici ce sera feu à volonté.
Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Histoire d'attaquer direct dans le bain, serait-il possible d'avoir une mini procédure de vérification du fonctionnement, genre un mini hello-world ou similaire ?
Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Hé hé la réponse est oui. Mais du peu que j'ai déjà pratiqué, si lorsque tu branches la machine émet un petit bip/clignotement de la led tone suivi du message "uPF--1" qui défile de droite à gauche tu es déjà 90% sûr que les principaux composants sont ok. Mais effectivement il faut tapoter sur les touches, charger et exécuter un petit code pour se conforter.
Re: [MPF-I] Tutos de prise en main
Bonne initiative Cela peut créer de suffisamment d’émulation pour motiver à jouer un peu plus avec les MPF-1.
Je pense que ces SBC sont surtout intéressantes pour bidouiller au niveau hardware. Du coup, l’intérêt de l’émulateur me parait assez limité dans le cas du MPF-1. On peut apprendre à programmer un Z80 sur d'autres plateformes plus pratiques (émulateur d'ordinateur par exemple).
De mon coté, j'ai un MPF-1B et MPF-1P. Ce qui me dérange le plus personnellement, c'est de devoir entrer des programmes à la main à chaque boot et pire, d'encoder moi même les instructions assembleur.
Donc, ce qui serait bien, c'est déjà de:
1- Mettre en place un environnement de développement pour faciliter la programmation (dans mon cas sous Linux) : cross-assembleur et fichiers qui contiennent les adresses des routines utiles pour simplifier les call etc...
2- Avoir un support de stockage de masse.
2.1- Je crois savoir qu'on peut brancher un magnétophone
2.2- On peut peut-être utiliser des EEPROM que l'on mettrait sur un support ZIP
2.3- Mieux, mettre en place une connexion série pour charger des programmes en RAM depuis le PC (avec le bon loader en ROM sur le MPF-1)
2.4- On peut se lancer aussi dans un projet de support disquette pour rester dans l'esprit des pionniers ( avec un contrôleur de disquette floppy classique du style de celui qu'on a dans le CPC). Mais ça, c'est plus pour la partie 'bidouille'
3- Lui mettre une carte graphique: l'afficheur est sympa mais va vite être limité.
De mon coté, j'ai une certaine motivation pour un support disquette et je vais commencer à investiguer.
Je pense que ces SBC sont surtout intéressantes pour bidouiller au niveau hardware. Du coup, l’intérêt de l’émulateur me parait assez limité dans le cas du MPF-1. On peut apprendre à programmer un Z80 sur d'autres plateformes plus pratiques (émulateur d'ordinateur par exemple).
De mon coté, j'ai un MPF-1B et MPF-1P. Ce qui me dérange le plus personnellement, c'est de devoir entrer des programmes à la main à chaque boot et pire, d'encoder moi même les instructions assembleur.
Donc, ce qui serait bien, c'est déjà de:
1- Mettre en place un environnement de développement pour faciliter la programmation (dans mon cas sous Linux) : cross-assembleur et fichiers qui contiennent les adresses des routines utiles pour simplifier les call etc...
2- Avoir un support de stockage de masse.
2.1- Je crois savoir qu'on peut brancher un magnétophone
2.2- On peut peut-être utiliser des EEPROM que l'on mettrait sur un support ZIP
2.3- Mieux, mettre en place une connexion série pour charger des programmes en RAM depuis le PC (avec le bon loader en ROM sur le MPF-1)
2.4- On peut se lancer aussi dans un projet de support disquette pour rester dans l'esprit des pionniers ( avec un contrôleur de disquette floppy classique du style de celui qu'on a dans le CPC). Mais ça, c'est plus pour la partie 'bidouille'
3- Lui mettre une carte graphique: l'afficheur est sympa mais va vite être limité.
De mon coté, j'ai une certaine motivation pour un support disquette et je vais commencer à investiguer.
Amstrad CPC et Goupil power
Bénévole à l'association pour un conservatoire de l’informatique et de la télématique (https://www.aconit.org)
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Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Bonjour,
allez voir le fil :viewtopic.php?f=1&t=10797&hilit=mpf1&start=165
J'y parle d'une trouvaille que j'avais fait sur une EPROM supplémentaire appelé "HEX 1BP" qui permet de transférer du code Z80 par un port série de PC via les prises jack de la carte MPF-1B.
Bonne journée
Jean-François
allez voir le fil :viewtopic.php?f=1&t=10797&hilit=mpf1&start=165
J'y parle d'une trouvaille que j'avais fait sur une EPROM supplémentaire appelé "HEX 1BP" qui permet de transférer du code Z80 par un port série de PC via les prises jack de la carte MPF-1B.
Bonne journée
Jean-François
Il n'y a que 11 sortes de gens, ceux qui comprennent ceux qui ne comprennent pas et ceux qui me font répéter!
Jean-François
Jean-François
Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
En effet je pense que si on ne se remet pas dans le contexte de l'époque on peut juste remiser cette carte au placard.gotcha a écrit : ↑23 août 2022 12:15 Bonne initiative Cela peut créer de suffisamment d’émulation pour motiver à jouer un peu plus avec les MPF-1.
Je pense que ces SBC sont surtout intéressantes pour bidouiller au niveau hardware. Du coup, l’intérêt de l’émulateur me parait assez limité dans le cas du MPF-1. On peut apprendre à programmer un Z80 sur d'autres plateformes plus pratiques (émulateur d'ordinateur par exemple).
Oui bien sûr c'est l'objet de mon fil ici. Le code Z80 est édité et assemblé sur le PC puis chargé sur le MPF-1 comme une sauvegarde K7 mais lue par la carte son du PC. Du coup on utilise la ROM standard du MPF-1 et un simple câble jack 3.5 mono.gotcha a écrit : ↑23 août 2022 12:15 De mon coté, j'ai un MPF-1B et MPF-1P. Ce qui me dérange le plus personnellement, c'est de devoir entrer des programmes à la main à chaque boot et pire, d'encoder moi même les instructions assembleur.
Donc, ce qui serait bien, c'est déjà de:
1- Mettre en place un environnement de développement pour faciliter la programmation (dans mon cas sous Linux) : cross-assembleur et fichiers qui contiennent les adresses des routines utiles pour simplifier les call etc...
2- Avoir un support de stockage de masse.
2.1- Je crois savoir qu'on peut brancher un magnétophone
2.2- On peut peut-être utiliser des EEPROM que l'on mettrait sur un support ZIP
2.3- Mieux, mettre en place une connexion série pour charger des programmes en RAM depuis le PC (avec le bon loader en ROM sur le MPF-1)
2.4- On peut se lancer aussi dans un projet de support disquette pour rester dans l'esprit des pionniers ( avec un contrôleur de disquette floppy classique du style de celui qu'on a dans le CPC). Mais ça, c'est plus pour la partie 'bidouille'
Je n'irai pas jusque là de mon côté.
Re: [MPF-I] Tutos de prise en main
Il existe plusieurs solutions pour sauvegarder/charger les programmes :
Les deux MPF sont équipés d'une interface cassette. Un moyen simple est d'y relier un dictaphone numérique, par exemple celui-là qui dispose d'un système de fichiers intégré :
Ensuite, le MPF1-P comporte à son dos un compartiment à piles, lequel permet de conserver le contenu de la mémoire même quand le MPF n'est pas alimenté.
S'il s'agit d'un programme appelé à resservir, avec la carte d'extension enregistreur d'Eprom il est possible de le mettre sur Eprom, et d'insérer celle-ci à l'emplacement Eprom utilisateur sur la carte MPF1P ou B.
Autre solution plus bas.
Perso, je ne suis pas favorable à programmer sur PC ; le charme de disposer d'une SBC, c'est de programmer directement dessus, sinon ce n'est pas la peine d'avoir un système autonome avec un moniteur intégré, un clavier et un afficheur.Donc, ce qui serait bien, c'est déjà de:
1- Mettre en place un environnement de développement pour faciliter la programmation (dans mon cas sous Linux) : cross-assembleur et fichiers qui contiennent les adresses des routines utiles pour simplifier les call etc...
Mais bon, chacun fait ce qu'il veut...
Ben oui, voir plus haut.2- Avoir un support de stockage de masse.
2.1- Je crois savoir qu'on peut brancher un magnétophone.
Il existe déjà une carte d'extension Multitech avec EEPROM et interface série.2.2- On peut peut-être utiliser des EEPROM que l'on mettrait sur un support ZIP
Il existe déjà une carte d'extension Multitech avec EEPROM et interface série.2.3- Mieux, mettre en place une connexion série pour charger des programmes en RAM depuis le PC (avec le bon loader en ROM sur le MPF-1)
C'est une possibilité qui est abordée dans d'autres sujets de ce forum.3- Lui mettre une carte graphique: l'afficheur est sympa mais va vite être limité.
De mon coté, j'ai une certaine motivation pour un support disquette et je vais commencer à investiguer.
J'ai regroupé ces deux citations, puisqu'il est question de la même chose.2.4- On peut se lancer aussi dans un projet de support disquette pour rester dans l'esprit des pionniers ( avec un contrôleur de disquette floppy classique du style de celui qu'on a dans le CPC). Mais ça, c'est plus pour la partie 'bidouille'
Je ne pense pas qu'équiper le MPF d'un lecteur de disquette soit une bonne idée.
Je m'explique :
Si on veut créer une communauté autour du MPF, il faut choisir une solution de stockage simple, compacte et bon marché.
Je n'ai pas l'impression que beaucoup de possesseurs d'un MPF ou d'un clone se lanceraient dans la recherche d'un lecteur de disquette, de son contrôleur, et des inévitables disquettes qui vont avec, pour ensuite se coltiner/retrouver toutes les manipulations fastidieuses qui vont avec leur emploi.
C'est supportable pour un ordinosaure qui était d'origine équipé de disquettes, mais bien moins pour en doter en 2022 une SBC, même datant des années 80.
Pour conserver au MPF son caractère compact, et utiliser une solution simple, abordable et facile à mettre en œuvre, j'ai pensé à une petite carte d'extension équipée d'un PIC 18Fxxxx (je n'ai pas là en tête la référence exacte, peut-être 18F4550, il y a plusieurs PIC qui ont ces fonctionnalités) qui dispose déjà de série dans sa ROM des routines pour gérer une carte SD ou µSD, ainsi que d'une interface USB. Le PIC est transparent vis à vis du MPF, et vient charger à volonté un programme issu d'une carte mémoire ou d'une connexion avec un PC, qu'il vient prélever ou mettre dans le plan mémoire du MPF.
C'est un de mes multiples projets, mais j'ai déjà tant de choses en cours, que sa réalisation n'est pas pour tout de suite. Alors si jamais quelqu'un avait envie de s'y coller, je n'y verrais aucun inconvénient.
Notator est le nom d'un programme séquenceur Midi et notation musicale pour Atari ST(e) (puis Mac).
Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Pour lire et sauvegarder les programmes il y a aussi le projet de Patrick qui permettrait de lire et sauvegarder en LEP.
https://github.com/patricklaf/NucleoLEP
Je n'ai pas eu trop le temps de regarder dans le détail, mais ça semble être une solution intéressante
https://github.com/patricklaf/NucleoLEP
Je n'ai pas eu trop le temps de regarder dans le détail, mais ça semble être une solution intéressante
Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Mon envie personnelle avec le MPF-1, c'est de l'utiliser comme base pour recréer pas à pas un mini CPC (contrôleur disquette, memory banks, contrôleur graphique, clavier et...). C'est une manière de comprendre les aspects hardware et firmware en détail par la pratique.
Oui c'est un peu la réaction de Zebulon aussi. Le lecteur de disquette, c'est pour moi surtout une envie personnelle car c'est un sujet qui m’intéresse et que je creuse actuellement (avec la greazeweazle par exemple). Pour la plupart des gens, la disquette est en effet une source de problèmes et un support à remplacer au plus vite par quelque chose de plus moderne et commode.Notator a écrit : ↑24 août 2022 02:48 Je n'ai pas l'impression que beaucoup de possesseurs d'un MPF ou d'un clone se lanceraient dans la recherche d'un lecteur de disquette, de son contrôleur, et des inévitables disquettes qui vont avec, pour ensuite se coltiner/retrouver toutes les manipulations fastidieuses qui vont avec leur emploi.
C'est supportable pour un ordinosaure qui était d'origine équipé de disquettes, mais bien moins pour en doter en 2022 une SBC, même datant des années 80.
Avoir un support de masse du style clé USB ou SD est très pratique (on le voit sur le VG5000), mais j'ai quand même quelques freins mentaux à mettre dans une interface un processeur généraliste plus puissant que le Z80 au centre de la SBC.
Amstrad CPC et Goupil power
Bénévole à l'association pour un conservatoire de l’informatique et de la télématique (https://www.aconit.org)
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Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Oui ben ça, le Z80 est un microprocesseur 8 bits du début des années 80, c'est sûr qu'on a fait du chemin depuis, en terme de puissance processeur...
Je suis un peu étonné de ces scrupules à utiliser un circuit commode, au motif qu'il est plus puissant que le Z80, alors qu'il n'y a apparemment aucune réticence à envisager le portage de sa programmation sur un PC qui est lui, je ne sais pas combien de fois encore plus puissant qu'un PIC, et bien sûr qu'un Z80.
Mais utiliser un PIC ou une solution équivalente serait pourtant dans une démarche rationnelle, si on ne souhaite pas trop entamer le plan mémoire du MPF, ni se retrouver avec une carte d'extension encombrante, qui demanderait un temps de développement important ; et en plus celle-ci serait une solution plus coûteuse qu'avec un circuit contemporain.
Le but, il me semble, c'est de pouvoir utiliser le plus vite possible le système MPF dans de bonnes conditions, pas de passer son temps et son énergie à concevoir une interface chronophage et complexe.
Pourquoi vouloir réinventer la roue, alors qu'il existe des circuits faciles à se procurer, bon marché, et qui demandent peu de développement pour l'adapter à nos besoins, puisque les routines et protocoles de communication sont déjà intégrés au circuit.
Le PIC 18F4550 m'est venu à l'esprit, mais il y en a de moins puissants, comme le PIC 18F2550, et je n'ai pas encore examiné précisément tous les autres processeurs de la famille PIC.
Je suis un peu étonné de ces scrupules à utiliser un circuit commode, au motif qu'il est plus puissant que le Z80, alors qu'il n'y a apparemment aucune réticence à envisager le portage de sa programmation sur un PC qui est lui, je ne sais pas combien de fois encore plus puissant qu'un PIC, et bien sûr qu'un Z80.
Mais utiliser un PIC ou une solution équivalente serait pourtant dans une démarche rationnelle, si on ne souhaite pas trop entamer le plan mémoire du MPF, ni se retrouver avec une carte d'extension encombrante, qui demanderait un temps de développement important ; et en plus celle-ci serait une solution plus coûteuse qu'avec un circuit contemporain.
Le but, il me semble, c'est de pouvoir utiliser le plus vite possible le système MPF dans de bonnes conditions, pas de passer son temps et son énergie à concevoir une interface chronophage et complexe.
Pourquoi vouloir réinventer la roue, alors qu'il existe des circuits faciles à se procurer, bon marché, et qui demandent peu de développement pour l'adapter à nos besoins, puisque les routines et protocoles de communication sont déjà intégrés au circuit.
Le PIC 18F4550 m'est venu à l'esprit, mais il y en a de moins puissants, comme le PIC 18F2550, et je n'ai pas encore examiné précisément tous les autres processeurs de la famille PIC.
Notator est le nom d'un programme séquenceur Midi et notation musicale pour Atari ST(e) (puis Mac).
Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
L'un n'emperche pas l'autre et chacun peut travailler sur ce qui le motive le plus. Ce qui m’intéresse avec le MPF-1 en particulier, c'est justement de réinventer la roue dans le but de mieux la comprendre. Mais j'imagine que d'autres personnes ici auront d'autres buts.
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Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Il y a pleins d'idées et de pistes intéressantes dans ces échanges.
Pour commencer et suite à la demande de Fabien, les premiers tutos vont se replonger dans l'expérience initiale de l'utilisation du MPF-1 pour se mettre le pied à l'étrier.
En clair pour ceux qui ont déjà lu et intégré le manuel il n'y aura rien de neuf. Mais de par mon expérience pro je ne suis pas choqué que nombre de personnes aient besoin d'être prises par la main pour faire ces premiers pas plutôt que de rentrer dans un manuel aussi pédagogique soit-il.
Concernant l'apprentissage aride de l'assembleur j'ai étant jeune écrit, assemblé et rentré du langage machine sous forme de datas sur mon CPC 464 sans posséder le moindre logiciel pour m'y assister. Donc j'ai bien conscience de la tâche et je ne renie pas l'intérêt en 2022 du cross-développement pour mener à bien des projets.
Mais le faire à la main une fois permet de comprendre et d'encore mieux apprécier l'intérêt des logiciels sophistiqués dont nous disposons gratuitement aujourd'hui.
Pour commencer et suite à la demande de Fabien, les premiers tutos vont se replonger dans l'expérience initiale de l'utilisation du MPF-1 pour se mettre le pied à l'étrier.
En clair pour ceux qui ont déjà lu et intégré le manuel il n'y aura rien de neuf. Mais de par mon expérience pro je ne suis pas choqué que nombre de personnes aient besoin d'être prises par la main pour faire ces premiers pas plutôt que de rentrer dans un manuel aussi pédagogique soit-il.
Concernant l'apprentissage aride de l'assembleur j'ai étant jeune écrit, assemblé et rentré du langage machine sous forme de datas sur mon CPC 464 sans posséder le moindre logiciel pour m'y assister. Donc j'ai bien conscience de la tâche et je ne renie pas l'intérêt en 2022 du cross-développement pour mener à bien des projets.
Mais le faire à la main une fois permet de comprendre et d'encore mieux apprécier l'intérêt des logiciels sophistiqués dont nous disposons gratuitement aujourd'hui.
Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Hormis le manuel, il a aussi le livre 'Initiation aux Microprocesseurs' de LED Micro, qui se base sur le MPF-1B.
J'ai (enfin) réussi à en trouver un il y a quelques mois:
J'ai (enfin) réussi à en trouver un il y a quelques mois:
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Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
J'adore les SBC et personnellement j'aime surtout les possibilités d'extensions hardware
Et c'est une très bonne initiation au langage assembleur, bon en 2022 il faut être très motivé pour apprendre l'assembleur sur un SBC
Ce qui est marrant c'est que j'ai 2 projets en cours pour les SBC (6502, Z80, 6809,...) mais comme je n'ai toujours pas de temps libre pour l'instant je m'y remettrais après la rentrée, mais je suis sur que cela va intéresser du monde
Enfin l'espoir fait vivre
Et c'est une très bonne initiation au langage assembleur, bon en 2022 il faut être très motivé pour apprendre l'assembleur sur un SBC
Ce qui est marrant c'est que j'ai 2 projets en cours pour les SBC (6502, Z80, 6809,...) mais comme je n'ai toujours pas de temps libre pour l'instant je m'y remettrais après la rentrée, mais je suis sur que cela va intéresser du monde
Enfin l'espoir fait vivre
Re: [MPF-I] Echanges libres sur les tutos
Il n'y a pas de souci ; ce que j'écris n'est pas une critique indirecte envers un autre choix, c'est juste l'exposé d'un exemple de démarche logique susceptible de convenir au plus grand nombre.gotcha a écrit : ↑24 août 2022 11:04L'un n'emperche pas l'autre et chacun peut travailler sur ce qui le motive le plus. Ce qui m’intéresse avec le MPF-1 en particulier, c'est justement de réinventer la roue dans le but de mieux la comprendre. Mais j'imagine que d'autres personnes ici auront d'autres buts.
Mais nous ne sommes pas tous pareils.
Chacun reste bien évidemment libre de choisir l'approche qu'il préfère.
On échange, on discute, on confronte des points de vue, c'est bien le but de ces échanges.
J'ajouterai que sur un plan pédagogique, le travail direct sur SBC reste incomparable, car on peut voir 'en vrai' ce qu'il se passe, surtout dans l'environnement MPF, où on peut à tout moment aller examiner le contenu des registres et des cases mémoires, et poser des points d'arrêt dans un programme pour voir ce qu'il se passe à tel moment. Ce n'est pas une simulation, c'est du réel, du concret.Zebulon a écrit : ↑24 août 2022 11:36 Concernant l'apprentissage aride de l'assembleur j'ai étant jeune écrit, assemblé et rentré du langage machine sous forme de datas sur mon CPC 464 sans posséder le moindre logiciel pour m'y assister. Donc j'ai bien conscience de la tâche et je ne renie pas l'intérêt en 2022 du cross-développement pour mener à bien des projets.
Mais le faire à la main une fois permet de comprendre et d'encore mieux apprécier l'intérêt des logiciels sophistiqués dont nous disposons gratuitement aujourd'hui.
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